Écoute la s’écouler c’est comme un bras de la vie
J’ai mis les voiles cherchant une pluie d’étoiles avant l’apocalypse
Emmenant un tas de traumatismes comme seule compagnie
La solitude me contamine
Je suis seul à bord quand mon rafiot navigue
Mais faut que je rationalise les vrais seront présents
A l’arrivée pour arrimer mais lesquels le seront vraiment
Trop de pensées déconcertantes Maddie et qu’ont sert t’en
Je les ai prises aiguisé puis j’grave les trois lettre de mon serment
Vis Pour ceux qui ne peuvent plus le faire
Vis réalise ton vœu le plus cher
Visible ou pas shop à chance où qu’elle puisse être
Car si tu homme fini poussière on commence pas tous dans une poussette
Je fais des cauchemars, je plan je mat la terre de là haut
Pense à mes frères de l’Amérique du Sud au frère du laos
Mais pendant ce temps je le casse une garo
Dans mon canapé niquant ma life passant d’une verdure à l’autre
Triste hypocrisie mais je crois que l’homme est comme ça
Ne pense plus à ceux qui partent et ceux qui sont encore là
Et je crois que l’homme a peur face aux secondes qui défilent
Peur quand il se rend compte que c’est pas lui qui décide
Et les aiguilles nous maltraitent le en cours quand on rampe
Là je me demande juste à quel point il peut être doux quand on le prend
Couz on connaît rien de ce voyage et pourtant on le tente
Je crois qu’on sait que les frères seront là pour nous pousser quand on se plante
Donc je trace entre aurores boréales et mélancolie
Entre horreur bonheur Beau-rivage elan de folies
Je profite de ce que la vie me prodigue
J’accepterais tout garderai cette route même si le mauvais temps se profile
Pense à tous ces gens que t’aimes Céleste comme terrestre
Si tout est gris regarde les car le ciel colores tes rêves
Je répète tous ces gens que t’aimes céleste comme terrestre
Si tout est gris regarde les car le ciel colores tes rêves
Eux qui t’ont donné la force t’on fait garder la foi
Au fond du gouffre je pense à mes parents qui m’ont donné la voix
Ce qui me regarde depuis là-haut assoupi dans un soupir
Est-ce leurs souvenirs qui m’ont redonné le sourire quand je faisais de la peine à voir
Même dans les mauvais moment il faut charbonne c’est rude
Garder les pieds sur terre quand t’as l’eul entre deux barettes
A besoin de la bonne clé de la bonne porte et de la bonne serrure
Pour les trouver faudra fouiller les méandres de ta tête
Et ça me torture dure comme une lame entre deux veines
Ouais je me lamente ie sais seul dans mon appart à me demandant ce que je fais
Vide et perdue comme une âme entre de cierges
Vie peu commune j’avance une alarme entre deux cernes
Et ça me torture dure comme une lame entre deux veines
Ouais je me lamente je sais seul dans mon appart à me demandant ce que je fais
Vide et perdue comme une âme entre de cierges
Vie peu commune l’avance une alarme entre deux cernes
Même si j’suis tombé genoux plombés, j‘m’enfuirai pas dans le rre-ve
J’ai fais le Serment de vivre et je vivrais à en crever
Je vivrai à en bad triper toujours avec le smile car
J’lui ài fait l’serment de rire donc je rirak à en pleurer
Pour qu’elle aussi puisse rire dans le ciel
J’vivrai jusqu’à ce que le silence règne
Capables de tout le temps que la mif m’encercle
Je trouverai toujours ma route la où on peut facilement se perdre
Même si je sais qu’il y aura perte et fracas
Que je paierai ma part
J’ai déjà eu au moins quatre fois ce que je rêvais d’avoir
Et je m’arrêterai pas là, j’m’en balec des barrages
Rappelle-toi que même la foudre ne peut espérer m’abattre
Je veux tout voir avant de perdre la vue
Pour que dans le noir total je me rappelle du clair de la Lune
Du soir où elle m’a vu je veux tout entendre et tout ressentir
Tant que je me sens vivre et tout écrire avant de perdre ma plume